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Pyjamarama !

Enfile ton pyjama en pilou, on t’invite à ouvrir des livres qui vont faire du bien à tes rétines !
Au Rouergue, je me dis qu’on doit bien s’amuser dans les bureaux parce qu’en ce qui me concerne, plusieurs fois on m’a attrapé à la librairie à jouer avec cette superbe série de livres alors que j’étais censée travailler. Le principe ? Faire bouger les images à l’aide d’une grille super-sophistiquée sur des illustrations hyper-graphiques : cela s’appelle l’ombro-cinéma – une technique d’animation ancestrale paraît-il ! La lumière éteinte, un petit garçon file sous ses couvertures et pars en vadrouille : Paris, New-York, Lunaparc…Vous voulez que votre enfant soit bouche bée ? C’est très facile : une démonstration et rien ne sera plus comme avant. Des albums très originaux, poétiques, pleins de magie et ingéniosité en perspective…Vous êtes prévenus. On vous laisse avec une démonstration trouvée dans l’internet – je voulais la faire moi-même mais je baby-sittais Bob, je ne peux pas tout faire :

…non mais comment voulez-vous travailler ?
parispyjnewyorkpyjlunaparcpyjmoipyjrobotspyj
Paris en pyjamarama – Michaël Leblond & Frédérique Bertrand (Rouergue)
9782812606885 – 14.80€
en librairie depuis septembre 2014
à partir de 4 ans

New-York en pyjamarama – 9782812602603 – 16.80€
Lunaparc en pyjamarama – 9782812603334 – 16.80€
Moi en pyjamarama – 9782812604362 – 16.80€
Mes robots en pyjamarama (cahier d’activités, woo génial !) – 9782812605598 – 9.90€

Son
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Chasse à l’ange – Ingelin Rossland

9782812607196,0-2347356

Engel Winge, jeune journaliste dans un patelin norvégien, se rend sur l’île de Maroya, réputée hantée. Avec l’aide d’une médium, elle va mettre au jour des éléments étranges qui vont alimenter son enquête et l’embarquer dans une affaire qui va la conduire jusqu’à Berlin…

★★★☆☆

Ce roman fait suite à Aile d’ange et, pour vraiment tout comprendre, il me semble judicieux de lire ce premier tome. Notamment pour connaître l’âge et la personnalité de notre héroïne car il m’a fallu un très long moment (plus de la moitié du livre) pour découvrir qu’Engel avait 17 ans ! Ce qui peut être utile quand on lit certains passages au début, très crus, où elle discute sexe avec une copine ou à sa façon de parler. C’est un détail, mais j’avoue que cela m’a un peu manqué pour m’attacher au personnage, qui a d’ailleurs de faux airs de Lisbeth Salander de Millénium. Bref. En lisant la quatrième de couverture, je m’attendais à un petit côté fantastique qui n’avait pas l’air déplaisant. Or, au fur et à mesure que l’enquête progresse, et qui est censée attester ou non de la présence de fantômes sur l’île, le sujet disparaît complètement au profit d’une enquête sur la drogue et autres magouilles financières. Vous risquez donc d’être déçus si vous cherchiez une histoire de fantômes ! Malgré tout, l’enquête est intéressante, le dépaysement agréable, et l’audace et l’obstination de notre journaliste donnent du rythme à cette courte histoire. Il y a d’ailleurs un petit côté cinématographique dans le découpage des chapitres, où les ellipses sont très importantes, et où l’action s’enchaîne sans s’embourber dans des descriptions trop longues. Un roman plutôt honnête, donc, même s’il me semble qu’il vaut tout de même mieux avoir lu le précédent avant de se lancer dans cette nouvelle enquête.

Chasse à l’ange, Ingelin Rossland (Rouergue)
collection DoAdo Noir
en librairie depuis le 5 novembre
9782812607196 – 13,50 €
à partir de 15 ans

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Jim Curious – Matthias Picard

jimAttention : vision 3D, tu vas t’éclater. Vous connaissez peut-être Matthias Picard avec sa bd « Jeanine », c’était du grand art. Je le redécouvre avec une pépite qui rappelle avec joie Vingt-mille lieues sous les mers…si c’est un clin d’œil à Jules Verne alors il est merveilleusement interprété.
Jim enfile son scaphandre, sort de chez lui avec difficulté et plonge avec bonheur dans l’océan. Plus il s’y enfonce, plus ses découvertes sont magiques. On a beau savoir ce qui s’y trouve, l’étonnement nous prend à chaque page – la vision 3D y est pour quelque chose bien évidemment ! Ça bouge, ça brille, ça tournoie…vous allez en prendre plein les rétines. Pour l’originalité, inutile de repasser, vous l’avez trouvée, cet album relève du génie. Je précise qu’il y a 2 paires de lunettes dans cet album, une pour le conteur, l’autre pour l’enfant chanceux. Mesdames (et messieurs), je crois que Matthias Picard est un homme pris, c’est une grande perte pour nous, heureusement il y a ses livres 🙂

psst…enfile tes lunettes 3D et jette un œil à cette image
jimcurious
Jim Curious, Matthias Picard (2024 éditions)
en librairie depuis octobre 2012
9782919242078 – 19€
à partir de 5 ans

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Qui a pété ?

quiapétéSi vous ne savez pas quoi offrir à vos adolescents qui s’intéressent au cinéma – de près ou de loin – amusez-vous à mettre ce livre entre leurs mains. J’ai du le présenter des dizaines de fois à de nombreuses personnes et il fait toujours autant rire ! Le principe est le suivant : une scène de film culte à chaque page – ça c’est pour la culture – et à vous de vous poser la question qui a pété ? en observant l’image…ça, c’est pour nourrir votre humour! Les photos n’ont rien à voir avec le pet mais c’est à vous de laisser parler votre imagination 🙂 Le plus chouette dans ce livre, c’est qu’il suscite l’intérêt pour ces films en noir et blanc, redonne jeunesse et fraîcheur à des œuvres cinématographiques oubliées voire inconnues telle que Zorba le grec ou Son altesse royale. En tout cas avec Bob on se marre comme des baleines, on s’est amusées à trouver une autre scène culte :

Qui a pété ?
tontonsflingueurs

Qui a pété ? (Sarbacane)
en librairie depuis avril 2012
9782848655154 – 10.50€
à partir de 10 ans

Son
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Justice pour Louie Sam – Elizabeth Stewart

9782364745087,0-2240182

Lundi, Bob et Jean-Michel étaient au Salon du livre jeunesse. Ils ont rencontré plein de monde trop sympa, ils ont vu plein de livres trop cools, ils n’en ont pas acheté beaucoup (ils ont été raisonnables) mais en attendant de découvrir leurs avis sur leurs achats, Bob avait lu un roman ado qu’il souhaitait vous présenter… 🙂

Territoire de Washington, 1884. En se rendant à l’école, George Gillies et ses frères découvrent le cadavre de leur voisin dans sa maison en feu. Le coupable est très vite désigné : Louie Sam, un jeune Indien qui était dans les parages. Il n’en faut pas plus pour que les hommes du village se mettent en tête de rendre justice eux-mêmes, au mépris des lois et de la vérité. Pourtant, George Gillies va vite se rendre compte que celui qu’ils pensaient coupable ne l’était peut-être pas…

★★★★☆

Captivant, ce roman tiré d’une histoire vraie est un nouveau témoignage des exactions menées par les colons sur les populations indiennes en Amérique. Une postface de l’auteur vient d’ailleurs compléter certaines informations du roman. Ici, Elizabeth Stewart nous propose le récit de George qui, comme tous les habitants de son village, est méfiant envers les Indiens. Il participe d’ailleurs au raid organisé par les colons pour capturer Louie Sam, jusqu’au moment où des détails lui sautent aux yeux, ébranlant ses croyances. Mais qui prêterait attention à un adolescent de 15 ans qui semble sympathiser à la cause indienne ? Ou, plutôt, qui voudrait le croire ? Car, au fur et à mesure de son enquête, George se heurte à des personnages qui le menacent et il ne parvient même pas à trouver le soutien du shérif. Qui, alors, pourra donner justice à Louie Sam ? Le roman est vraiment passionnant, il parvient à être à la fois une enquête, une représentation de la mentalité de l’époque (d’autant plus dans un territoire politiquement incertain) et un roman initiatique. George est un personnage auquel on s’attache très vite et dont on admire le courage, pour tenir tête à des hommes souvent menaçants et dangereux. Même si j’ai eu parfois l’impression qu’il avait l’air beaucoup plus jeune, à la façon dont il nous raconte les événements. Justice pour Louie Sam n’en reste pas moins un très bon roman, profond, qui nous amène à réfléchir sur le courage et la justice. Il est d’autant plus agréable qu’il se lit quasiment d’une traite !

Justice pour Louie Sam, Elizabeth Stewart (Thierry Magnier)
en librairie depuis le 20 août
9782364745087 – 18,50 €
à partir de 13 ans

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Les anges de l’abîme – Magnus Nordin

9782812607165, 0-2347206

Petite pause dans les idées cadeaux de Noël pour Bob, avec la critique d’un des romans ados en lice pour la Pépite 2014. Il n’a pas gagné, mais il me faisait de l’œil depuis un temps suffisamment certain pour que je me lance enfin dans ce petit pavé. J’espère que vous avez les tripes bien accrochées. 😉

Alice fait sa rentrée dans un nouveau lycée. Elle se rapproche très vite de sa prof de suédois, Molly Zetterholm, et rejoint bientôt un groupe un peu particulier et complètement secret : les Anges de l’abîme. Leur mission : rendre la justice aux jeunes victimes de prédateurs sexuels.

★★★☆☆

Âmes sensibles s’abstenir ! Ce polar nordique de Magnus Nordin nous déroule une sordide affaire de pédophilie et de maltraitance. Je vous le dis tout de suite car, de toute manière, ça commence d’entrée avec une scène de disparition de jeune fille suivie, trois ans plus tard, par une opération commando des Anges de l’abîme. Il ne faut donc à l’auteur que quelques pages pour nous mettre tout de suite dans le bain et c’est un bain plutôt glacé ! J’ai trouvé l’histoire plutôt bien menée, entre la découverte progressive de chacun des personnages du groupe secret (tous victimes d’actes de maltraitance ou de sévices sexuels) et leurs opérations qui, très vite, ne deviennent qu’une seule grosse enquête. Car il nous faut peu de temps pour comprendre que la petite ville de Fjärlunda est le théâtre d’un vaste réseau pédophile. Si l’auteur ne nous perd pas un seul instant dans son récit (j’avoue m’être laissée emportée et avoir eu du mal à m’arrêter), un lecteur de polar averti verra sans aucun doute les choses venir et ne sera pas forcément surpris (cela a été mon cas). Mais cela n’enlève rien au plaisir de lecture. Là où le roman pêche, c’est peut-être justement dans son récit et ce qu’il dénonce. L’auteur nous propose en début de roman la célèbre citation de Nietzsche : « Celui qui combat des monstres doit prendre garde à ne pas devenir monstre lui-même ». Et c’est bien ce que font nos jeunes héros : combattre ces monstres qui attirent les adolescentes pour les violer (la méthode ici donnée dans le roman : sur le net, en se faisant passer pour des garçons cools de l’âge des proies qu’ils traquent). Et pour cela, ils usent de méthodes criminelles (enlèvement, torture psychologique), récoltent les preuves et envoient le tout à la police. Jusque là, on peut encore comprendre et même avoir de l’empathie pour ces justiciers de l’ombre. Après tout, nous sommes tous à un moment donné tellement révoltés par une situation ou un événement que nous aimerions avoir les moyens ou les armes pour réparer cette injustice. C’est humain. Pourtant, ici, je trouve que la réflexion sur la vengeance, l’auto-justice, est assez maigre. Peut-être manque-t-il une morale. En tous cas, et la fin du roman en est un parfait exemple, il me semble difficile de se faire un jugement sur ce que l’on a lu. Et je crois que l’auteur a oublié de nous donner sa propre définition du monstre. Je ne sais pas comment sera ressenti ce roman par les ados, mais la crudité de certaines scènes et cet épilogue sont d’une froideur à nous hérisser les poils sur les bras.

Les anges de l’abîme, Magnus Nordin (Rouergue)
collection DoAdo Noir
en librairie depuis le 8 octobre
9782812607165 – 14,90 €
à partir de 15 ans

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Les Contes d’hiver des éditions Taschen

contedhiverSachez que chez Taschen (c’est pas facile à prononcer ce début de phrase), on vous offre du beau livre, généralement à la thématique unique – c’est un site pour les enfants alors je ne mentionnerai pas ici les petits livres sympas un peu osés qu’ils ont édités (psst : contactez-nous en privé si vous voulez savoir) – mais il arrive que leurs ouvrages soient très chers. Alors dès que j’en vois un accessible à n’importe quel porte-monnaie je deviens faible, j’arrache littéralement le plastique et le lis en moins de temps qu’il n’en faut. On a tous entendu quelque part « si seulement je pouvais retrouver les contes que j’avais étant petit » BIM Taschen réalise nos souhaits 🙂
Contes d’hiver est un livre exquis. Avec cet opus, vous (re)découvrirez 13 histoires pour les soirées d’hiver, des contes du monde entier publiés entre 1822 et 1972. Des auteurs et illustrateurs d’Allemagne, du Mexique, de Hongrie, des États-Unis, d’Italie, de Scandinavie et de Russie. Chaque conte est appréciable puisque très différent du précédent, j’en ai découvert certains et en ai lu d’autres que je connaissais déjà mais pas avec les illustrations d’origines…Un objet sublime : couverture cartonné, reliure en tissu, papier glacé…autant vous dire que je n’ai pas laissé Bob jouer avec.
J’ai emprunté le sommaire à Taschen afin que vous puissiez voir l’origine des titres. N’hésitez pas à cliquer sur les images pour les admirer en king size.
sommairecontestaschen
va_wintertime_tales_074_075_1408121512_id_743897
va_wintertime_tales_284_285_1408121516_id_831423

Contes d’hiver (Taschen)
sorti le 4 novembre
9783836544016 – 29.99€
à partir de 4 ans

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Ariol – Le coffret de jeux…

coffretariol…coucoule 🙂
Eh oui ! Vous connaissiez Ariol, la bd de Marc Boutavant et d’Emmanuel Guibert ? Et bien il revient pour votre plus grand plaisir avec des jeux – des classiques – mais revisités sauce petit-âne-et-ses-copains. De quoi ravir les amoureux de ces personnages drôles et impertinents. Soyez sans craintes, le jeu est scénarisé par les auteurs et on retrouve avec bonheur l’univers d’Ariol. Mais qu’y a t-il dans ce coffret ?
Le Pétul’oie / le jeu de l’oie
Le Mistiburge / le mistigri
Le M’émoriol / le mémory
Le Jeu des petits chevaliers / les petits chevaux
Le Ramoto / le rami
Six petites figurines en carton représentant les personnages de la série servent de pions, il y a un dé, le plateau est réversible et les règles des jeux sont sur la boîte. Si, c’est très important de préciser que c’est imprimé sur la boîte comme ça vous serez sûrs de ne jamais perdre ce fichu papier. Je voulais vous montrer des photos de nous en train de jouer mais Bob mangeait du gigot/flageolets en même temps et en a collé plein le plateau.

Ariol, le coffret de jeux coucoule d’Emmanuel Guibert & Marc Boutavent (BD Kids)
sorti le 8 octobre
9782747053303 – 15.90€
à partir de 7 ans

Son
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Les cygnes sauvages – Kochka et Charlotte Gastaut

9782081307186,0-2289862

Jean-Michel faisait son intéressant en vous parlant de contes russes il y a une petite semaine. Alors j’ai décidé de vous présenter une nouvelle adaptation d’un conte dont nous connaissons bien l’auteur : Hans Christian Andersen (et non, Jean-Michel, tu as tout faux, ce n’était pas Walt Disney !). Rois et princesses, sorcières et méchantes belle-mères, cygnes et crapauds… voici Les cygnes sauvages !

★★★★★

Et c’est Kochka qui adapte ce conte que j’ai toujours beaucoup aimé et je trouve sincèrement qu’elle fait une adaptatrice merveilleuse. Son écriture et sa sensibilité, que j’apprécie déjà beaucoup sans ses autres œuvres, se prêtent parfaitement à ce récit. Et les illustrations de Charlotte Gastaut viennent ajouter une beauté supplémentaire au texte de Kochka. En effet, elles sont véritablement splendides, riches en détails et en couleurs, certaines s’étalent même sur des doubles pages, pour notre plus complet émerveillement. (Imaginez Bob avec des étoiles dans ses petits yeux). Son utilisation de la dorure, parfois mêlée au noir et blanc, apporte la touche parfaite et féérique à ce conte, qui ravira sans aucun doute les enfants. L’onirisme et la poésie qui se dégagent des illustrations de Charlotte Gastaut est en parfaite adéquation avec l’histoire racontée et l’écriture de Kochka. Pour moi, ce duo est tout simplement parfait ! Et vous ferez sans doute des heureux en offrant ce livre à Noël !

Les cygnes sauvages, Kochka, d’après Andersen, et Charlotte Gastaut (Père Castor)
en librairie depuis le 8 octobre
9782081307186 – 13,50 €
à partir de 6 ans

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Je vais t’avaler tout cru ! Sunita – Gita Wolf

avalertoutcruA l’attaque des livres-supers-originaux ! « Je vais t’avaler tout cru ! » est entièrement fait main, chaque exemplaire est numéroté (5000 ont été imprimés et le tirage est bien sûr, limité). Ce livre est un travail d’orfèvre, est-ce vraiment pour les enfants ? 🙂 Pour les amateurs de pièces rares, de beauté originale, qui apprécient l’artisanat et pour curieux des techniques d’illustrations.

Il était une fois un chacal si paresseux qu’il ne chassait point. Il se servait de sa meilleure amie la grue pour se nourrir « tu es très douée pour la pêche mais je parie que tu ne peux pas attraper 12 poissons d’un seul coup ! » lui dit-il. Quel fin stratège ! Mais pris au piège de sa gloutonnerie, il avala son amie ainsi que tous les animaux qui croisèrent son chemin…jusqu’à ce que son bidon explose.

Quelle morale tirer de cette histoire ? Que la gourmandise est un vilain défaut ? Tu entends Bob ? Saches que si tu ne rentres plus dans tes caleçons il y a une raison.
Nous parlions de techniques d’illustrations : tous les dessins ont été réalisés à la chaux blanche et c’est un art traditionnel appelé Mandana. Pratiqué au Rajasthan, il est perpétué de mères en filles. Avec Bob, on s’est renseigné sur la technique : le fond est constitué d’un mélange de bouse de vache, d’argile et d’ocre rouge et afin de réaliser les motifs, ces femmes utilisent du citron ou de la craie blanche et dessinent à l’aide d’un bout de coton, d’une touffe de cheveux ou d’un pinceau improvisé avec des morceaux de bois secs…cela ne vous rend pas un peu curieux d’ouvrir ce livre ?

(vidéo galamment empruntée à Actes Sud Junior)

Je vais t’avaler tout cru – Sunita, Gita Wolf, Marine Tasso (traduction) (Actes Sud Junior)
sorti en octobre 2014
9782330035037 – 19€
à partir de 3 ans